vendredi 29 mai 2009

7 juin : Quête pour la Mère et l'enfant

Témoigner et agir sur le terrain pour la famille et pour la vie



» A l’origine, un message du Pape

« Que soit célébrée tous les ans dans les différents pays une Journée pour la Vie(…). Il est nécessaire que cette Journée soit préparée et célébrée avec la participation active de toutes les composantes de l’Eglise locale. Son but fondamental est de susciter dans les consciences, dans les familles, dans l’Eglise et dans la société civile la reconnaissance du sens et de la valeur de la vie humaine à toutes ses étapes et dans toutes ses conditions. »
(Extrait de l’Evangile de la Vie, Jean-Paul II, 1995)

» Une date symbolique, la Fête des Mères

» Une occasion de partenariat avec d’autres mouvements



vendredi 15 mai 2009

Les sages-femmes seront peut-être autorisées à pratiquer des avortements (Marianne GOMEZ - La Croix)

Un amendement sénatorial discuté dans le cadre de la loi sur l’hôpital veut élargir les actes praticables par les professionnels de la naissance

Les députés y avaient renoncé. Les sénateurs ont repris le dossier. Dans le cadre du projet de loi sur l’hôpital, actuellement en discussion au Palais-Bourbon, la commission des affaires sociales a adopté un amendement autorisant les sages-femmes à pratiquer des interruptions volontaires de grossesse par voie médicamenteuse.

La députée Bérengère Poletti (UMP, Ardennes) avait déjà fait la même proposition, reprenant une recommandation de la délégation aux droits des femmes. Elle l’a retirée avant le débat dans l’hémicycle, « non pas à cause des pressions exercées par certaines associations, précise-t-elle, mais parce que la profession n’était pas prête ». Auteur du rapport de suivi de la loi sur l’IVG (octobre 2008), la députée justifie le recours aux sages-femmes par le fait que l’accès à l’IVG médicamenteuse en ville reste très inégal.

« Le premier frein tient au trop faible nombre de médecins ayant passé une convention avec un établissement de santé, condition indispensable pour pouvoir effectuer ces IVG. Quatorze régions ont ainsi moins de cinq médecins ayant passé cette convention (…). D’autre part, 90 % de ces actes sont réalisés par des gynécologues, or ceux-ci ne sont pas présents ou ne sont pas facilement accessibles », peut-on lire dans son rapport. D’où l’idée de faire appel aux sages-femmes, « qui ont la compétence technique nécessaire », estime-t-elle, à la fois pour prescrire la pilule abortive et contrôler les suites de l’acte.

L’Alliance pour les droits de la vie proteste

Celles-ci sont d’accord. « Une sage-femme doit être auprès de la femme, quelle que soit l’issue de sa grossesse, heureuse ou malheureuse », estime la présidente de l’Ordre national de sages-femmes, Marie-Josée Keller. Le Sénat a donc repris l’amendement. Celui-ci a été voté en commission, avec l’appui de la ministre de la santé, Roselyne Bachelot. Il propose « d’expérimenter » le recours aux sages-femmes « dans une région française connaissant un taux important de recours à l’interruption volontaire de grossesse ».

Muguette Dini (Union centriste, Rhône) en est à l’origine. « Le sujet est sensible, nous ne souhaitons pas l’imposer à toute la France, d’où l’expérimentation. Nous voulons aussi vérifier la validité de l’idée », explique-t-elle.

Dans un communiqué, l’Alliance pour les droits de la vie proteste. « Les pouvoirs publics déplorent le fort taux d’IVG en France : comment justifier qu’au lieu de s’interroger sur les causes de ce phénomène, on veuille augmenter le nombre de prescripteurs de cet acte qui n’a rien d’anodin ? » fait valoir l’association. Muguette Dini dit « comprendre » cette logique, mais ne la partage pas. « On n’a jamais informé suffisamment sur la contraception, et je le regrette. Mais une fois cela constaté, reste que certaines femmes sont déterminées à ne pas vouloir garder leur enfant, et que si l’on ne fait pas les choses correctement, on risque des accidents. » L’amendement, inscrit à l’article 22, ne devrait pas venir en discussion avant la semaine prochaine.

lundi 11 mai 2009

Sophia, le 13 mai à 20h: Soirée débat - révision des lois de bioéthique.

Comme vous le savez peut-être, les lois françaises concernant la bioéthique vont faire l’objet d’une révision générale par le parlement à l’automne. Le Docteur Jean Léonetti, député-Maire d’Antibes et déjà auteur d’une loi sur la fin de vie qui porte son nom, est chargé d’un gros travail préparatoire. Mais chaque citoyen est aussi appelé à donner son avis, dans une très vaste consultation nommée « états généraux de la bioéthique ». C’est pourquoi nous invitons les chrétiens des Alpes Maritimes à s’informer sur le sujet, à débattre entre eux et avec d’autres, et à apporter leur contribution, car les enjeux sont majeurs : quel prix aura la vie dans notre société demain ?

Pour s’informer :

Les excellents dossiers parus dans La Croix au mois de mars

Le site des évêques de France ‘www.eglise.catholique.fr

Le film « La vie en question » réalisé par le diocèse de Saint Etienne. 15 € (librairie « culture et foi » à St Etienne. 04 77 80 48 70 ou culture-et-foi@wanadoo.fr)

Le livre « Bioéthique, propos pour un dialogue »  éditions DDB Lethielleux 14 € (disponible au stand à la sortie de la messe)

Pour contribuer : le site www.etatsgenerauxdelabioetique.fr. Au plus tard début mai

 

Enfin, vous êtes tous invités le mercredi 13 mai à partir de 20h (film) ou 21h (débat). Centre pastoral Paul VI, à notre soirée « bioéthique » : projection du film « la vie en question » suivie de débats

lundi 4 mai 2009

Les familles aussi doivent promouvoir les vocations, demande Benoît XVI

ROME, Dimanche 3 mai 2009 (ZENIT.org) - Les familles aussi doivent promouvoir les vocations sacerdotales et à la vie consacrée.

C'est ce que demande Benoît XVI en ce mois de mai qui s'ouvre, ce dimanche, avec la Journée mondiale de prière pour les vocations.

En effet, l'intention de prière générale de Benoît XVI pour le mois de mai 2009 est : « Pour que les laïcs et les communautés se fassent les promoteurs des vocations sacerdotales et religieuses ».

Son intention missionnaire invite les jeunes Eglises aussi à participer à la mission universelle.

Son intention missionnaire est : « Pour que les Eglises particulières de récente fondation, reconnaissantes au Seigneur du don de la foi, participent à la mission universelle de l'Eglise, en étant disponibles à prêcher l'Evangile à travers le monde ».